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EN BREF
L’aide à la prise de médicaments des personnes en perte d’autonomie au sein des structures médico-sociales ne relève pas des seules infimières, a rappelé début décembre la Cour de cassation. Les juges ont confirmé le licenciement pour faute d’une salariée d’un Ehpad qui avait refusé de distribuer des piluliers nominatifs avec les repas dans les chambres. Selon l’article L 313-26 du Code de l’action sociale et des familles, créé par la loi HPST en 2009, l’aide à la prise de médicaments peut être assurée « par toute personne chargée de l’aide aux actes de la vie courante ».
APM