Lors des 31e Journées nationales d’études et de perfectionnement des infirmières de bloc (Ibode), qui se sont déroulées à Dijon à la mi-mai, les experts ont insisté sur la nécessité de mieux exploiter les compétences de la spécialité.
Aujourd’hui, on laisse de jeunes diplômées non formées, voire des aides-soignantes, exercer les missions d’Ibode dans les blocs. C’est dangereux pour les patients et cela coûte cher, a alerté Brigitte Ludwig, présidente de l’Union nationale des associations d’Ibode...