BRAVO
ACTUALITÉ
ÉCHOS
(À propos de la chronique d’Aïssa Lacheb-Boukachache, « Le paradoxe infirmier », 11/03)
Merci pour cette chronique qui décrit avec précision ce que je ressens sur mon métier, et c’est vraiment bien dit. Trois années d’études pour apprendre à obéir, regarder, écouter et devenir une petite main. Quel est le rôle propre dont on nous parle tant ? On ne peut rien faire sans permission ou validation, on n’a pas l’impression d’être adulte. Et pourtant, il y aurait tant à faire. Merci encore pour ce texte qui traduit en mots notre grande frustation.