ÉDITORIAL
Un enfant si je veux quand je veux. » Ce slogan des années 70 est, semble-t-il, toujours d’actualité. En plein tohu-bohu des retraites, les associations de défense de l’IVG ont manifesté, début novembre, pour dénoncer, entre autres, « la fermeture massive des centres d’interruption volontaire de grossesse », véritable menace pour le maintien du droit à l’avortement… Leurs craintes sont légitimes. La politique de santé actuelle met en péril la loi Veil....