Le premier rapport de l’Observatoire national de la fin de vie rendu public le 15 février relève que la France prend encore mal en compte la fin de vie des patients. Alors que des pathologies aiguës sont devenues, avec les progrès de la médecine, des pathologies chroniques, accentuant le phénomène de fins de vie lentes et complexes. Le rapport évalue les besoins en soins palliatifs aux deux tiers des personnes qui décèdent, dont la moitié par cancer. Or,en matière de soins...