40 ans, c’est le temps de son parcours psychiatrique. Une période durant laquelle Marie-A. C. note ses pensées, qui seront complétées par les notes de Jacques Serfass, pédopsychiatre. Dans ce roman à deux voix, elle parle d’enfermement, de « foire de traitements », d’incompréhension entre soignants et soignés : « Ce n’est pas d’être enfermée, le pire. (…) Le pire, c’est de ne pas savoir… ne pas savoir ce qui va se passer, ce qui pourrait se passer,...