Les escarres sont également appelées plaies de pression
Vrai Faux
Les escarres sont des plaies
D’origine ischémique Dont la formation peut débuter en deux heures Dont la formation peut débuter en six heures
Selon une enquête de la SFE, le risque d’escarre chez les patients Covid a doublé. Il est de
8,6 % 12,5 % 17,8 %
Dans l’escarre, les tissus mous comprimés entre un plan « dur » et une saillie osseuse sont soumis à une force exercée
Perpendiculairement entre un plan plus ou moins rigide et une proéminence osseuse De façon tangentielle entre les tissus superficiels en contact avec les surfaces externes et les tissus profonds tirés vers le bas par la gravité
La profondeur de l’escarre est fonction de la localisation
Vrai Faux
S’agissant d’une escarre de stade 3, laquelle/lesquelles de ces observations est/sont vraie(s) ?
Le derme profond et l’hypoderme sont atteints Fibrine et nécrose sont présentes Les structures tendineuses sont visibles Les structures osseuses sont visibles
Les signes cliniques locaux d’une escarre infectée sont
Une odeur nauséabonde Un exsudat purulent Une modification des exsudats Une rougeur, une chaleur et un œdème des berges Un saignement La réapparition de fibrine en phase de bourgeonnement
En l’absence de repositionnement, la position semi-assise au lit ou au fauteuil, le tronc relevé à plus de 30 °
Protège le patient des escarres de pression Entraîne un risque d’escarre de pression Protège le patient des escarres de cisaillement Entraîne un risque d’escarre de cisaillement
Le repositionnement régulier du patient est recommandé pour toute personne porteuse d’escarre(s) en l’absence de contre-indication
Vrai Faux
L’élévation de la tête du lit à 30 ° pour un patient alité
Expose à un risque de pressions et de cisaillements au niveau du sacrum et du coccyx Doit être évitée ou limitée, sauf avis médical contraire ou pour des besoins d’alimentation et de problèmes digestifs Peut être médicalement nécessaire pour faciliter la respiration et/ou empêcher une pneumonie sur broncho-aspiration ou sur ventilateur
Chez les adultes atteints d’escarre(s) considérés à risque de dénutrition ou chez les personnes âgées porteuses d’escarre(s), les apports nutritionnels recommandés sont de
20 à 25 kcal/kg de poids corporel par jour 30 à 35 kcal/kg de poids corporel par jour 1,25 à 1,5 g de protéines/kg de poids corporel par jour 1,5 à 3 g de protéines/kg de poids corporel par jour
La détersion mécanique de l’escarre se fait
À partir des berges de la plaie Du centre vers les berges de la plaie
Un lavage avant détersion mécanique est recommandé dans le cas d’une escarre
De stade 3 De stade 4 Localisée sur l’articulation d’un orteil Sacrée, malodorante, suintante, avec un abcès
Quel(s) type(s) de pansement peut-on utiliser en prévention des blessures des tissus périlésionnels fragiles ou friables ?
Siliconé Hydrogel Alginate
Un pansement imprégné d’argent s’utilise dans l’escarre
Cliniquement infectée Modérément exsudative Fortement colonisée À haut risque d’infection Après contrôle de l’infection

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Dans l’oxygénothérapie, l’oxygène est apporté à des concentrations d’oxygène dans l’air inspiré (FiO2)
Comprises entre 21 et 100 %  Comprises entre 60 et 100 % Supérieures à 50 %
Une hypoxémie est caractérisée par
Une pression partielle en oxygène (PaO2) inférieure à 60 mmHg Une PaO2 inférieure à 80 mmHg Une saturation artérielle en oxygène (SaO2) inférieure à 90 % Une SaO2 inférieure à 96 %
L’objectif d’une oxygénothérapie à court terme (OCT) est de maintenir une saturation artérielle en oxygène
Supérieure à 90 % Supérieure ou égale à 96 %
L’objectif d’une oxygénothérapie à long terme (OLT) est de maintenir une saturation artérielle en oxygène
Supérieure ou égale à 96 % Aux alentours de 90-92 %
En dehors de la broncho-­pneumopathie chronique obstructive (BPCO), l’oxygénothérapie à long terme est indiquée
Dans la dyspnée chez les patients en soins palliatifs Dans la crise d’algie vasculaire de la face  Lorsque la pression partielle en oxygène (PaO2) atteint le niveau critique de 60 mmHg Lorsque la PaO2 atteint le niveau critique de 80 mmHg
La prescription d’une oxygénothérapie à court terme est
Réservée à un spécialiste Autorisée à tout médecin
L’utilisation de corps gras sur le visage est à proscrire en raison d’un risque
De brûlures graves De coloration irréversible de la peau
Le contact de l’oxygène avec une solution hydroalcoolique (SHA) peut provoquer une combustion. En période de Covid-19, l’utilisation d’une SHA est
Formellement contre-indiquée Possible en respectant un délai de 10 à 15 minutes entre l’hygiène des mains et la manipulation de l’oxygène
L’administration d’oxygène peut provoquer
Un dessèchement des muqueuses Des saignements de nez Une modification du goût et de l’odorat

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La forme galénique retenue pour l’administration d’un traitement est adaptée
Au contexte de la prise (en urgence ou régulière) Aux paramètres « patient » (âge, mode de vie, pathologies associées, excipients contre-indiqués) À la voie d’administration Aux propriétés physicochimiques et pharmacocinétiques de la substance active
Les formes dites « orales », administrables par la bouche, représentent, selon le Vidal 
50 % des formes commercialisées 80 % des formes commercialisées
La possibilité de séparer des substances actives incompatibles est une caractéristique
Des formes liquides Des formes sèches
Les comprimés sublinguaux se désintègrent
Sur la langue avant d’être avalés Sous la langue
Les formes à libération prolongée, dites LP, permettent
De diminuer le nombre de prises journalières De diminuer le dosage journalier D’améliorer l’observance
L’écrasement d’un comprimé à libération modifiée expose potentiellement le patient à
Un sous-dosage Un surdosage
Modifier la forme galénique avant administration n’est possible que si le Résumé des caractéristiques du produit (RCP) l’autorise
Vrai Faux

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