L’expression « vessie neurologique » désigne
Une vessie dont le fonctionnement neurologique est altéré Une vessie dont le fonctionnement est altéré par une pathologie neurologique L’ensemble des dysfonctionnements vésico-sphinctériens associés à une pathologie neurologique
Le sphincter interne est contracté
Volontairement pour empêcher les fuites d’urine lorsque la vessie est pleine Involontairement en permanence et se relâche involontairement lors de la miction
L’hyperactivité vésicale caractérisée par la survenue de contractions vésicales involontaires est le mécanisme le plus fréquemment rencontré dans la vessie neurologique
Vrai Faux
Lorsque l’hyperactivité vésicale est associée à une dyssynergie vésico-sphinctérienne
La miction peut être interrompue involontairement par une fermeture du sphincter Il y a un risque important de reflux vésico-urétéral Cela provoque des fuites involontaires
L’incontinence par regorgement
Est souvent le premier symptôme d’une vessie hyperactive Est due à une vessie pleine en permanence Provoque une incontinence en « goutte à goutte » Ne peut être observée si les mictions sont conservées
Lors d’une incontinence par regorgement, l’urine fuit
Par le haut de la vessie, par les uretères Par le bas de la vessie, par l’urètre
Quelle(s) pathologies, parmi les suivantes, peu(ven)t être à l’origine d’une vessie neurologique ?
Le spina-bifida Une hernie discale Un syndrome parkinsonien Une lésion médullaire Le diabète
Dans la maladie de Parkinson, le mécanisme de la vessie neurologique est le plus souvent
Une vessie hypoactive entraînant des fuites constantes en « goutte à goutte » Une vessie hyperactive entraînant des fuites d’urine et des impériosités
Les symptômes d’une vessie neurologique sont de type
Fuites urinaires Rétention urinaire
Les explorations du bilan urodynamique évaluent
Le volume et la pression de la vessie Les pressions intra-urétrales La miction
Quelles sont les principales causes d’infection urinaire parmi les exemples suivants ?
Une mauvaise vidange vésicale Une vessie hyperactive réfractaire aux traitements L’autosondage intermittent Le sondage à demeure
Les vessies les plus à risque de complications rénales sont
Les vessies hypotoniques Les vessies hypertoniques
Les injections de toxine botulinique sont administrées
Dans le muscle vésical Dans le sphincter urétral

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Le secouement est
Un geste extrêmement violent durant lequel la tête du bébé se déplace d’avant en arrière Un jeu consistant à lancer un bébé en l’air et à le rattraper
Les enfants concernés par le syndrome du bébé secoué sont âgés
Le plus souvent de moins de 6 mois En général de moins de 1 an En général de plus de 1 an
Un bébé secoué décède des suites d’un secouement
Jamais Dans 1 cas sur 10 Dans 3 cas sur 10
Les garçons sont davantage concernés par le syndrome du bébé secoué que les filles
Vrai Faux
Parmi cette liste, quel(s) est/sont les facteurs de risque identifiés par la Haute Autorité de santé ?
Une prématurité Une séparation mère-enfant en période néonatale Une grossesse non désirée Des pleurs inconsolables Des troubles du transit Des troubles du sommeil La présence de plus de trois enfants dans le foyer
Les épisodes de secouement sont répétés
Dans plus de la moitié des cas Dans un tiers des cas Rarement
Les auteurs d’un secouement peuvent appartenir à n’importe quel milieu socio-économique, culturel et intellectuel
Vrai Faux
Laquelle de ces lésions n’est pas indispensable au diagnostic de traumatisme crânien non accidentel (TCNA) par secouement ?
Une rupture des veines ponts Des hématomes sous-duraux multifocaux en nappe Des hémorragies rétiniennes
Les trois quarts des enfants qui survivent à un secouement présentent des séquelles lourdes dues aux lésions cérébrales
Vrai Faux

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Parmi cette liste, quelles molécules appartiennent à la classe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) ?
Le citalopram L’escitalopram La duloxétine La fluoxétine La fluvoxamine La paroxétine La sertraline
Les ISRS font partie des antidépresseurs indiqués en première intention
Dans les dépressions légères à modérées Dans les épisodes dépressifs majeurs
Quel(s) ISRS doi(ven)t être administré(s) le matin ?
La fluvoxamine La paroxétine La sertraline Le citalopram
Après rémission, afin de prévenir les rechutes, la durée totale du traitement antidépresseur doit être de
Six mois à un an Trois à six mois
Quel(s) ISRS doit(vent) être évité(s) chez le sujet âgé en raison, notamment, d’un fort potentiel d’interactions médicamenteuses ?
Le citalopram L’escitalopram La fluoxétine La fluvoxamine La paroxétine La sertraline
Un syndrome sérotoninergique, survenant lorsque les taux de sérotonine au niveau synaptique sont trop importants, peut menacer le pronostic vital
Vrai Faux
Quel(s) ISRS est/sont déconseillé(s) avec le jus de pamplemousse ?
Le citalopram L’escitalopram La sertraline
Le risque hémorragique est augmenté en cas d’association d’un ISRS avec
Un antiagrégant plaquettaire Un antivitamine K (AVK) Un antiarythmique Un anticoagulant oral direct (AOD) Un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS)

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