Une nutrition entérale peut être administrée au niveau
De l’estomac Du duodénum Du jéjunum
La nutrition entérale s’adresse
Aux patients dénutris dont les apports alimentaires oraux ne couvrent pas leurs besoins nutritionnels Aux patients qui ne peuvent s’alimenter normalement, qu’ils soient dénutris ou pas
En cas d’hyperglycémie,
 des mélanges nutritifs spécifiques au contrôle glycémique sont prescrits en première intention
Vrai Faux
Les sondes nasoduodénale et nasojéjunale
Sont préférées en présence de facteurs de risque majeur d’inhalation Permettent d’administrer des bolus alimentaires Maintiennent l’activité antibactérienne du suc gastrique Entraînent un risque de diarrhée ou de reflux persistant
Une démence évoluée est une contre-indication à la nutrition entérale car elle entraîne
Peu de bénéfices Beaucoup de risques
Le système par gravité est utilisé 
Si le tube digestif est normal En l’absence de ralentissement du transit digestif
L’administration d’une poche de nutrition en discontinu
Permet de restaurer l’alternance jeûne/nutrition Permet de conserver des activités professionnelles ou scolaires Donne la possibilité de passer plus de 6 litres par jour
La nutrition entérale pouvant être exclusive, les besoins en macronutriments sont déterminés pour un apport nutritionnel quotidien minimum de
1 500 kcal 2 000 kcal 2 500 kcal
Les mélanges enrichis en fibres, parfois associés à l’alimentation entérale, visent à àméliorer
Les troubles du transit La diarrhée La constipation
Les mélanges polymériques
 pour nutrition entérale
Sont les mélanges « standard » de nutriments (protéines, lipides, glucides, vitamines, sels minéraux et oligoéléments) Existent avec ou sans fibres Conviennent à la plupart des patients sous nutrition entérale
Les mélanges polymériques normoprotidiques ont une valeur énergétique
≥ à 0,5 kcal/ml et ≤ à 0,9 kcal/ml ≥ à 0,9 kcal/ml et ≤ à 1,2 kcal/ml ≥ à 1,2 kcal/ml et ≤ à 1,6 kcal/ml
La survenue d’une escarre justifie des apports protidiques augmentés afin de favoriser la cicatrisation
Vrai Faux
Au cours d’une nutrition entérale, la diarrhée est définie par l’émission de selles
Plus de 2 fois par jour De consistance liquide ou molle De poids supérieur à 300 g/j
Le mécanisme d’action de la compression médicale consiste à 
Réduire le calibre des veines et augmenter la vitesse du flux veineux Diminuer le reflux en s’opposant à l’hyperpression des veines et à la fuite valvulaire Réintégrer les liquides interstitiels du système lymphatique dans les vaisseaux sanguins
Les indications de la mise en place d’une compression médicale sont
L’insuffisance veineuse Le lymphœdème La thrombose veineuse profonde L’artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI)
La thrombose veineuse profonde (TVP) est une contre-indication absolue avec un index de pression systolique (IPS)
Situé entre 0,9 et 1,3 Situé entre 0,7 et 0,9 Inférieur à 0,6
En cas d’ulcère, la compression médicale est contre-indiquée lorsque l’index de pression systolique est 
Situé entre 0,9 et 1,3 Situé entre 0,7 et 0,9 Inférieur à 0,6
La compression médicale est contre-indiquée lorsque l’IPS est
Situé entre 0,9 et 1,3 Situé entre 0,7 et 0,9 Inférieur à 0,6
Des bas de compression entre 20,1-36 mmHg sont de
Classe 2 Classe 3 Classe 4
Les bandages dits multitype
Associent la pose de plusieurs bandes Signifient une pose en épi Sont posés exclusivement par des kinésithérapeutes
La pose de bandes de compression peut s’effectuer 
De façon circulaire En épi
Les trois mesures pour les chaussettes ou mi-bas sont à effectuer
Autour de cheville, sur la partie la plus large Autour de cheville, sur la partie la plus fine Autour du mollet, à l’endroit le plus large Deux doigts au-dessus du péroné Deux doigts sous le péroné
Les Idels peuvent renouveler une prescription médicale à l’identique
De tout dispositif de compression Pour les bas, les chaussettes et les collants de contention Pour les bandes de compression
Les tests antigéniques sont réservés
Prioritairement aux patients symptomatiques âgés de 65 ans ou moins ne présentant pas de facteurs de risque de déclencher des formes graves du Covid-19 En priorité à tout patient symptomatique dès lors que les symptômes sont apparus dans un délai inférieur ou égal à quatre jours À titre subsidiaire, à toute personne asymptomatique, à l’exception des cas contacts et des personnes détectées au sein d’un cluster
Il est préférable que le patient se mouche avant le prélèvement
Vrai Faux
Les tests antigéniques ne sont pas fiables à 100 %
Vrai Faux
Un résultat faussement négatif est principalement dû à 
Un défaut de sensibilité du test antigénique Une concentration virale dans l’échantillon inférieure au seuil de détection minimal Un prélèvement nasopharyngé pas suffisamment profond
Pour effectuer le test, il est recommandé de se protéger avec
Un masque chirurgical Un masque FFP2 Une blouse Des gants à usage unique Une protection oculaire
Si le test est négatif, l’infirmière invite le patient à prendre rendez-vous avec son médecin
Si la personne a 65 ans ou plus Si la personne présente au moins un facteur de risque Dans tous les cas
Tout test antigénique effectué par l’infirmière doit être enregistré dans le système d’information de dépistage (SI-DEP)
Le jour même Dans les 48 h Uniquement si le résultat du test est positif Que le test soit positif ou négatif
Les infirmières sont autorisées à réaliser de tests antigéniques en collaboration avec les pharmaciens, dans une pharmacie ou en barnum
Vrai Faux
Un test réalisé au cabinet par une infirmière libérale est rémunéré
26,14 euros 29,92 euros 19,20 euros

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