La maladie lithiasique touche :
5 % de la population 10 % de la population Deux fois plus d’hommes que de femmes Deux fois plus de femmes que d’hommes
Les calculs rénaux sont le plus souvent : 
D’origine génétique Liés à de mauvaises habitudes alimentaires
Les lithiases les plus fréquentes sont :
Calcium-dépendantes Uriques
Laquelle de ces affirmations est vraie ?
Plus le calcul est riche en calcium, plus sa densité est importante Les calculs d’acide urique ont une densité élevée Les calculs phospho-calciques ont une densité élevée
Les critères de gravité à rechercher devant une colique néphrétique (CN) sont :
L’intensité des douleurs avant la mise en route d'un traitement antalgique L'hyperthermie Une oligo-anurie Une hématurie microscopique
Pour soulager la douleur de CN, les anti-inflammatoires non stéroïdiens : 
Sont peu efficaces car ils augmentent le débit de filtration glomérulaire Sont le traitement de réference Peuvent être associés aux morphiniques
La douleur de la CN :
Est fonction de la taille du calcul Est liée à la mise en tension des cavités excrétrices en amont de l’obstacle N’a pas de position antalgique Est d’emblée intense
La prise en charge d’une CN lithiasique fébrile :
Est une urgence vitale Impose un drainage par JJ ou néphrostomie Impose la mise en route immédiate d’une antibiothérapie Impose l’appel de l'urologue
Une lithotricie extracorporelle :
Peut être proposée pour un calcul rénal de moins de 2 cm Est le traitement de choix pour un calcul rénal de plus de 2 cm
L’urétéroscopie permet le traitement des calculs de l’uretère et du rein :
De plus de 2 cm Inférieurs à 2 cm
Ces conseils diététiques pour éviter une récidive sont-ils appropriés ?
Limiter Ies fruits secs et le chocolat noir Ne pas excéder 15 g de sel par jour Consommer entre 800 mg et 1 g de calcium par jour

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