Décrits par le Conseil de l’Europe comme des « lieux de torture », les six établissements ont fermé le 31 mars. Mais, dans certaines régions, les structures alternatives prévues pour les remplacer sont inexistantes.
Dans certains établissements, il n’y avait qu’un médecin. Et de nombreux détenus n’avaient rien à faire là. Au cours d’un vol, l’un d’eux avait simulé, avec son doigt, avoir un pistolet dans la poche. Ses trois complices, jugés responsables de leurs actes, n’ont pas fait...