« Cher docteur, je lis Charlie depuis sa création. Je ne rate jamais Cavanna ni les dessins de Wolinski et Cabu. » Une quasi-octogénaire écrit ainsi à l’urgentiste Patrick Pelloux, pilier du canard satirique, pour lui conter ses mésaventures en chirurgie privée, où « les infirmières ne lui ont parlé que d’argent ». à lire dans ce recueil de chroniques de 2012-2014 (et dans notre n°306). Patrick Pelloux, On ne...