Bien qu’il ait découvert le karaté tout petit, ce n’est qu’une fois adulte qu’Alexandre Gaci a décidé d’y consacrer une partie de son temps. Une discipline qu’il exerce plusieurs fois par semaine, comme un loisir annexe à son métier d’infirmier libéral.
Le bruit des kimonos claque dans le dojo. Dans un coin du tatami, quatre ceintures noires répètent des katas, cette succession de mouvements codifiés mimant un combat et une démonstration technique. En tête de file, le professeur, Alexandre, ceinture noire troisième dan. « C’est mon...