Près de deux ans après la fin de l’épidémie Ebola, l’étude internationale PostEbogui, conduite par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), en partenariat avec l’Institut de recherche et du développement (IRD) et le CHU de Donka à Conakry en Guinée, met en lumière les conséquences cliniques et psychosociales rencontrées par nombre de survivants
Ils sont quelque 17 000. On les appelle les “survivants”.
Infectés par le virus Ébola durant l’épidémie qui a sévi en Afrique de l’Ouest de mars 2014 à fin 2015