VOS RÉACTIONS SUR Espaceinfirmier.fr

Code de déontologie

→ Après une naissance au forceps, voilà 10 ans que l’Ordre ordonne… Et les conseillers inspirés qui le composent ne sont pas en reste… Le code de déontologie publié après moult péripéties ne fait qu’énoncer des évidences : « L’infirmier agit en toutes circonstances dans l’intérêt du patient. Ses soins sont consciencieux, attentifs, etc. ». Toute cette blablaterie pour dire ce que les IDE savaient et pratiquaient déjà bien avant qu’une réglementation ne s’impose. Ce code regorge de truismes. Une prose si évidente qu’elle ne mériterait pas d’être énoncée. Pas une seule innovation. Nos esprits ordinaux manquent d’originalité. Pour en trouver, faut creuser profond… »

MOTARDE DE DIJON

À propos de « Code de déontologie : une première pour les IDE », 28/11/16

Erreur d’injection

→ La charge de travail, réelle, ne dédouane pas de la responsabilité de tout professionnel de santé. Notre métier doit mettre au cœur de nos pratiques la sécurité et ne pas étiqueter une seringue est une faute professionnelle si le produit préparé reste en attente d’utilisation. Notre collègue et l’ESI ont dramatiquement vécu ce postulat, sans oublier la douleur de la famille. Que ce pénible moment soit « enseignant » pour chacun d’entre nous.

PACKO4TE

À propos de « Six mois avec sursis pour une erreur d’injection », 06/12/16

Qualité de vie au travail

→ Que ce discours sonne creux et surtout très politisé. Un peu de sérieux : les outils informatiques pour les plannings existent déjà, la formation cadre prépare au management, à la gestion des conflits et à la valorisation professionnelle. M^me la ministre, il manque juste des professionnelles, IDE et AS entre autres, afin que les soins puissent être réalisés conformément aux bonnes pratiques. Être bien dans son travail interagit avec être bien dans sa vie, comme être bien dans sa vie interagit dans être bien au travail. »

VIVI

→ Quels moyens concrets sont déployés lorsque des risques sont identifiés ? La réduction des effectifs soignants dans les services où la charge de travail est lourde permet-elle une meilleure qualité de travail pour les professionnels et une meilleure prise en charge des personnes soignées ?

La T2A a proscrit l’aspect humain du soin, qui d’ailleurs n’est pas en adéquation avec la réalité, vous avez mis des chiffres sur des maux. Est-ce qu’un jour nos chers dirigeants viendront mettre le nez dans le quotidien des professionnels de santé pour se confronter avec le réel ?

TITI

À propos de « On ne peut pas s’épanouir quand on est rappelé sans cesse pendant ses congés », 05/12/16

Sondage

→ Selon vous, la nouvelle campagne de prévention du VIH répond-elle aux problématiques actuelles de la lutte contre la maladie ?

– Oui, complètement : 39,02 %

– Non, pas du tout : 43,90 %

– Ne se prononce pas : 17,07 %

41 personnes ont répondu à notre sondage en ligne du 23/11 au 7/12