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Retraites

→ Je touche une retraite de 520 €/mois. J’ai repris un emploi à mi-temps après le depart de mon mari : 700 €/ mois. Total : 1 220 €/mois. Tous les ans, après calcul, la CNRACL me demande de lui rembourser entre 1 000 et 1 200 €. Peu de gens savent réellement ce qu’est la règle du cumul emploi-retraite. Et quand j’entends qu’avec retraite + salaire, je suis une privilégiée, ça me met en colère !

MAMIE

→ J’ai commencé à travailler à l’âge de 16?ans, et j’ai cotisé à la Cnav ; puis durant 21 ans et 6 mois j’étais infirmier libéral, cotisant à la Carpimko; enfin, pendant 8 ans, je n’ai fait que de l’intérim : 168 trimestres cotisés et validés. Je suis en retraite depuis janvier 2014. Lorsque l’on compte bien, avec l’Arrco, l’Ircantec, la Cnav, la Carpimko, la complémentaire de la Carpimko, cela me fait une retraite mensuelle de 2 450 € nets. Seulement de travailler durant 43 ans sans s’arrêter, il faut d’abord se soigner avant d’en profiter. Et quand je constate les retraites de misère que mes ex-collègues de la fonction publique perçoivent, je trouve que c’est se moquer des personnes qui ont consacré une existence au service des autres. (…) Je n’ai pas honte de ce que je touche, car ce n’est pas des gens comme nous qui percevons une retraite confortable, ce sont les autres qui devraient avoir une retraite similaire à la nôtre. Quant à mon épouse, qui n’a jamais cessé de travailler même avec quatre enfants, il est normal qu’elle perçoive autant et plus que celles qui ont cessé de travailler pour élever leurs enfants. Il est inexact de dire que “des carrières complètes, peu en ont”. Elles ont fait ce choix en toute connaissance de cause.

JIAIME

À propos de « Ces milliers d’IDE retraitées qui continuent de travailler », 02/07

Salaires

→ Novembre 2010 est très loin, et les belles paroles aussi… En 2015, l’IDE doit travailler plus pour gagner moins. Et “on” discute encore le bout de gras. Je proposerai volontiers un module comptabilité dans la formation infirmière pour comprendre le bulletin de salaire qui attend les futurs IDE (je te donne 5 € et j’en retiens 7… mais t’as plus droit aux RTT…).

COE

À propos de « Catégorie A : le compte n’y est pas », 26/06

Violences

→ Il n’y a que la présence humaine qualifiée et en nombre suffisant qui peut prevenir la violence. Les caméras n’empêcheront jamais une personne de péter les plombs, surtout si elle a en face d’elle une unique interlocutrice.

ANONYME

→ Il existe des formations pour la prise en charge de la violence et des groupes de travail peuvent être mis en place. La vidéosurveillance n’empêchera pas un individu sous l’emprise de toxiques de passer à l’acte. Quant aux violences verbales, il suffit parfois de rappeller la loi pour remettre les personnes à leur place.

ANONYME

À propos du sondage sur le développement de la vidéosurveillance à l’hôpital, du 07/7 au 20/08